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Litterature- Anne Rice - Lestat, le vampire
18/07/2008 15:09

Litterature- Anne Rice - Lestat, le vampire

Deuxieme volet de *La chronique des vampires* se livre est un vrai chef-d'oeuvre et fut un vrai best-seller !
Voici un ptit resume :
Décidé à résoudre le mystère qui entoure l'origine de son 'genre', Lestat nous fait traverser les frontières du temps.
Mon avis est simple, j'adore ce roman, le personnage principal possède une réelle personnalité il est pompeux certes mais également pompeux il possède la fierté de celui qui vivra mille ans. On prend plaisir à ce style et l'on surprend même à jalouser les personnages secondaires témoins de ce personnage haut en couleur.

Commentaire de Goth-mimi (20/07/2008 17:13) :
je ne l'ai pas encore lu...
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Litterature - Anne Rice - La reine des damnes
18/07/2008 15:14

Litterature - Anne Rice - La reine des damnes

Encore un chef-d'oeuvre la preuve il a meme été adapté au cinema lui aussi !
Comme vous vous en doutez il y a pas mal de difference entre le livre et le film mais les deux sont magnifique !
Voici un ptit resume :
Lestat et sa musique ont réveillé quelque chose de pas très rassurant: AKASHA, la Mère, la reine des damnés. Mais il le dit lui-même, tout fini bien puisqu'il est encore là pour nous raconter tout ça. Comment tout a commencé, que sont réellement les vampires, sont-ils des démons à proprement dit, sont-ils vraiment immortels?
Mon avis : Splendide, Merveilleux, Extraordinaire... Suite directe de "Lestat le vampire" on les lit tous les deux comme un seul bouquin et d'une traite!!!
J'ai adoré ce livre où l'on redécouvre les personnages d'Entretien avec un vampire avec plaisir. J'aime surtout son écriture et il est très bien traduit dans un beau français. Je crois que je suis vendue à cette auteure.
Alors voilà je vous le conseille fortement mais faut lire dans l'ordre, Entretien avec un vampire, Lestat le vampire puis La reine des damnés.
J'ai bien aimé ce bouquin mais il était un peu plus complexe que les autres (et puis j'étais moins dedans, j'ai lu un autre livre en même temps, ça n'aide pas). Lestat me touche (étonnant ça, il n'est pas si "inhumain" que cela).
Texte sublime, La Reine des Damnés est à n'en pas douter le sommet de l'oeuvre d'Anne Rice. Meurtres par milliers, conciles vampiriques, noirceur ambiante... plus que jamais, l'auteur verse dans la démesure, dans ce fameux baroque qui lui sied si bien. Aussi maléfique que touchant, le personnage d'Akasha sert avant tout de révélateur des autres vampires, qui paraissent sous un autre jour à la lueur de leurs contradictions: la lâcheté d'Eric, le côté buté de Marius, la naïveté d'Armand...
Pour le reste, la seule véritable déception demeure l'explication quant à l'origine des vampires, si simple, si... inattendue...

Commentaire de Goth-mimi (20/07/2008 17:14) :
J'ai bien aimer le film, encore jamais lu le livre...
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Larmes de sang...
18/07/2008 16:22
Larmes de sang

Départ de l'été et s'en va l'espoir couché Sous la couche, au petit matin des mots volés, Sur les pierres, pleure le sourire De son regard, qui se veut haïr... Et dansent les rubans noirs qui l'étouffent Comme un serpent caché sous la mousse...
Alors doucement glisse le lierre Sur les chemins blancs de poussière. Larmes de sang glissant sur le papier Crevant son coeur tout chiffonné Des secrets lourds, habillés de mensonges Dans ses rêves, chassent les songes...
Euphorie d'un troubadour, Sous le ciel fané de tous les jours, Masques blêmes aux miroirs brisés Sous les chaînes de l'hivers scellés. Tourbillon de lumières sombres ensevelies Monotonie des fleurs maigries...
Sur la froideur aux pays qui se tournent, Draps salis des amours qui se contournent, S'installe la douleur dans ses veines Comme un voile, tombe sa peine Fragrance d'un manteau d'épines Sur sa peau, avec force, s'agglutinent!
Et coulent les larmes de sang, Tapis rouge sur le sol, se prétend. L'oraison crie la douleur qui la suit, Soprano d'une musique sans bruit Sur le silence, souffle le vent sur les feuilles, Tombe l'habit de l'arbre sur le seuil.
Et coule la rivière des pleurs, Et se noie, dans le précipice des douleurs. Larmes de sang, à ses joues, colorer... Tristesse cinglant son coeur, comme des lames aiguisées, Vie brisée, comme le verre, vole en éclat Dans le fond du puit, se perd là-bas!
Commentaire de Corpus Kira (18/07/2008 17:59) :
sublime...
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Commentaire de Goth-mimi (20/07/2008 17:14) :
Trop beau !!!!
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Une larme de sang dans le verre de vin
18/07/2008 16:28
Je verse des larmes de sang, Me voila qui meurt, mais pourtant s'éveille, Pourquoi ton corp est froid, pourtant, Ta chaleur en moi se répend sans soleil.
Je suis épuisée de faire semblant, D'être là, à tes coté sans pouvoir l'être vraiment, Je suis jalouse des autres, ils n'ont besoin d'aucun faux fuyant, Ils peuvent t'approcher sans crainte, sans paravent.
Et moi qui reste sous le vent glacial, Je suis seule avec mon sang qui s'épanche, Je reste là, et j'attends, aussi loyal, Comme ma mort, toujours bleu pervenche.
Le verre est là, posé devant moi, Le Graal des temps troublés et amoureux, Je reste là, sans quètes et sans roi, Je suis las d,attendre, mais je reste pour nous deux.
Je comprends les raisons qui nous poussent, A demeurer caché, sans regard opportuns, Mais la douleur reste en moi et pousse, Le poignard plus loin dans son mortel parfum.
Regarde mes yeux, plein de verve et de vie, Je suis au poste, toujours près de toi, Comme la lune, je te suis sans bruit, Et j'attends toujours, que le soleil s'enfuit.
Regarde le verre qui je tiens à la main, De mon sang a rabords, il est emplis, Ma vie est à toi, prend ce qui te plait, demain Je serait toujours là, un sourire embelli.
Mon sang est ruisselant sur le sol, D'un geste bruque, tu refuse ma vie, sans regard acide, Jamais plus douce offrande que mon sang sur ce sol, Je suis heureuse même si la coupe de ma vie, désormais est vide.
Commentaire de Goth-mimi (20/07/2008 17:18) :
Se poème est tout simplement magnifique !!!!Wouah !! C'est trop beau
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Au Coeur De Mon Ame
18/07/2008 22:30
Au Coeur De Mon Ame

Aphrodite, combien de cœurs déchirés, perdus ? Ô, les amours déçues, les amours déchues ; Saturne, combien de cœurs oubliés, pendus ? Des issues non voulues, nos rêves révolus. Un cœur qui bat, gonflant une haletante poitrine ; Un cœur qui bat, gonflant un rameau intime ; Mais ce cœur qui frappe, pendule d’une horloge maligne, Mais ce cœur décompte l’arrivée de l’heure ultime. Peu importe tout ce qu’il aura battu en pensant à demain, Peu importe tout ce qu’il aura battu sur des chagrins, Et tout autant ses battements perdus sur les chemins : Pour finir en pourriture, tous ces battements vains. Qu’il soit dessiné sur une feuille ou découpé en vitrail, Ou caché, protégé, en plein cœur de votre poitrail, Il finira oublié dans un cimetière, un grenier, une muraille ; Alors je vis sans me soucier ! Et sans regarder, traverse les rails…

Commentaire de Goth-mimi (20/07/2008 17:18) :
Wouah...
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